Critiques
14, 16, 18, 21, et 25 mars 201411 et 13 avril 2014
L’Orchestre Symphonique de Mulhouse apporte sous la direction de Jacques Lacombe le meilleur de la musicalité luxuriante, souvent lyrique, mais également hautement dramatique de la partition du compositeur et fut, à la fin, salué par les seules jubilations du public, qui parut par-dessus tout enthousiasmé par les qualités musicales de l’opéra.
Udo Pacolt, Der Neue Merker
16 mars 2012S’il y avait une bonne raison d’assister à ce Roi Arthus à Strasbourg, c’était assurément pour entendre l’Orchestre symphonique de Mulhouse : un orchestre allant, poussé par Jacques Lacombe à ne jamais laisser la tension s’étioler – une des caractéristiques de cette œuvre – grâce notamment à un tissu de cordes charnues et intenses qui rendaient joliment la lumière par moment quasi fauréenne de la partition de Chausson.
Clément Rochefort, LaLettreduMusicien
16 mars 2014Fermer les yeux pour seulement écouter? Côté orchestre certainement : Jacques Lacombe a effectué un travail remarquable avec l’Orchestre symphonique de Mulhouse.
Alain Cochard, ConcertClassic
17 mars 2014Si la représentation a de la tenue et se suit jusqu’au bout, c’est grâce à la conviction passionnée de Jacques Lacombe qui dirige avec une continuité et un souffle impressionnants, entrainant le Symphonique de Mulhouse très au-dessus de ce qu’on espérait…
André Tubeuf, L’oeil et l’orielle
17 mars 2014Pour avoir sauvé la nacelle du naufrage en donnant à entendre les voies multiples de ce carrefour d’influences grâce aux textures dégraissées et resserrées d’un Orchestre symphonique de Mulhouse sur la pente ascendante, autant qu’à un sens de la progression dramatique imperméable aux errements de la scène, Jacques Lacombe est digne, non seulement des uniques éloges que l’on puisse sincèrement adresser à cette production, mais aussi, tel Arthus emmené par-delà les flots bleus, de « la suprême gloire d’avoir cru dans l’Idéal. »
Mehdi Mahdavi, Altamusica
18 mars 2014... l’Orchestre Symphonique de Mulhouse apprivoise l’acoustique des lieux et livre sous la baguette de Jacques Lacombe une lecture dynamique et plutôt nuancée, réservant ainsi aux mélomanes l’essentiel des satisfactions de cette production.
Le Melomaner, Jim Le Pariser
19 mars 2014L’autre grande satisfaction de la soirée vient de la fosse, où le chef canadien Jacques Lacombe, spécialiste des compositeurs oubliés (il a notamment enregistré l’opéra Colonel Chabert de Hermann von Walthershausen, chez C.P.O. en 2010), se montre attentif à ne pas couvrir les voix tout en réduisant le rôle des cordes pour faire ressortir les subtilités de l’orchestration. Assurément, un chef à suivre.
Florent Coudeyrat, Les Trois Coups
20 mars 2014